Rome devenait nerveuse comme une femme. césar ne semblait bien plus le héros essentielle à un peuple dès lors que passionné, suffisant mais aussi coléreux. Cet homme, insoucieux aux chocs colportés sur son compte, ne songeait point en effet à s’entourer du luxe sans lequel un dictatrice reste méprisé. Il laissait enfin dormir la correction, en une ville où la agression énergique d’une justice cruelle avait été longtemps l'unique lien social. On commençait pour cela à le détester. Ce n’était pas que césar fût doux, ni même sans fierté, mais la lassitude d’un travail incessant, mais aussi la nécessité de trouver à tout des prestations magnifiques ou immédiates absorbaient sa pensée. Pour comble, les derniers miette de l’armée pompéienne, commandés via Cneius Pompée, le fils, et Labienus, d'antan téléphone du Proconsul des Gaules, créèrent un mouvement de révolte en allemagne.
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