Je n’avais pas de traduction du chœur de la symphonie, mais le régisseur du théâtre, M. Winkler, homme à la fois spirituel et savant, eut l’extrême obligeance d’improviser, pour ainsi dire, les vers allemands dont nous avions besoin, et les études du finale purent commencer. Quand je revins de Dresde, les études cependant étaient loin d’être terminées, le chœur d’hommes surtout laissait beaucoup à désirer. Il s’en permettait surtout d’affreux dans le solo du commencement de la Scène aux champs. Le Bal et la Scène aux champs seulement trouvèrent, je crois, grâce devant elle.