Louise de Bescé entendit discuter l’arrivée en gare ferroviaire d’Austerlitz. Accoudée à la portière, elle laissait de manière aléatoire ses sensations s'enchaîner ou alors s’agglomérer. Une sorte d’hypnose triste et audacieuse avait votre propre cerveau nébuleux. Le case de première fut vide. chacun des administrés venaient de descendre. Le train se remit en marche vers Orsay. La fille laissa votre regard divaguer sur les murs de ce genre de minage, douce à la Seine, où courait le convoi traîné par une engine électrique. Il y eut l’arrêt du pont Saint-Michel, puis on entra dans la vaste gare ferroviaire d’Orsay, de couleur blanche mais aussi désordonnée. Louise descendit tout simplement et se dirigea vers la sortie. Elle était à fond. Après s’être indication au jeune travailleur qui maçonnait dans la chambre des suppliciés, Louise de Bescé avait fait l'expérience un perdre déchirement.