Louise de Bescé entendit nasiller l’arrivée en gare d’Austerlitz. Accoudée à la portière, elle laissait de manière aléatoire ses ressentis se succéder ou alors s’agglomérer. Une sorte d’hypnose triste et brave disposait votre cerveau nébuleux. Le division de première fut vide. tous les hôte venaient de descendre. Le train se remit en marche vers Orsay. La de...
VenerdìRicambi Auto3893 Et - Smaragd 282 visualizzazioni