Le remaniement des terrains diluviens et la dispersion des ossemens fossiles qu’ils renferment, me paraissent devoir être en partie attribués à cette cause, et en partie au mouvement même des nappes de glace : enfin le löss de la vallée du Rhin qui n’est qu’une ac cumulation de molasse finement triturée, me paraît être le dernier dépôt de l’écoulement des eaux dues à la fonte des glaces, postérieur au transport du gravier plus grossier qui l’avait précédé lorsque le courant était encore plus actif.