Il s'attacha au théâtre des Variétés du Palais-Royal, qui prit le nom de théâtre de la République, et y obtint un nouveau genre de succès dans les pères nobles. On a de lui : l’Amant bourru, comédie en 3 actes et en vers, 1777 ; les Victimes cloîtrées, drame qui eut une vogue prodigieuse, 1791 ; la Jeunesse du duc de Richelieu ou le Lovelace français, 1796, et les paroles de quelques opéras-comiques : Blaise et Babet, 1783 ; Ambroise ou Voilà ma journée, 1793, qui eurent du succès. Auteur : Charles Monselet - Source : Dernières paroles du gastronome. De retour à Paris en 1789, il se signala par son ardeur révolutionnaire. LAJARD (Aug. P.), dernier ministre de la guerre de Louis XVI, né à Montpellier en 1757, m. en 1837, entra au service dès 1773.