Chevaux et mulets y enfonçaient à chaque pas; rien n’était plus drôle que de les voir se débattre, essayer de relever une jambe pendant que les autres enfonçaient à leur tour, recommencer à satiété ce travail de Pénélope sans se décourager et sans arriver à un résultat. Au bout de quatre mois, il est peinard, il ne doit plus rien à la société, et on peut pas réellement dire qu’on ai eu la possibilité de le faire réfléchir à ses actions. Son unique passion est la légation de France, pour laquelle il se ferait hacher menu comme chair à pâté. Pour cette longue série, ce grand blond aux yeux bleus, taillé comme une armoire de son pays et doté d’une grande sensibilité (si on en croit le témoignage de son ami Marijac dans le n°60/61 du Collectionneur de Bandes Dessinées, au printemps 1989), revient au noir et blanc.