Il a voué depuis une haine égale aux vers français. Avec une poitrine et des côtes bien descendues, sa cage thoracique est profonde. Ceci est à l’adresse de MM. Champfleury et Courbet, deux fiers paladins, morbleu ! Toujours très-amateur de lecture, Champfleury s’imagina que le métier de libraire était le seul qui pût lui donner plein contentement de ses goûts. Donc Champfleury s’approcha de l’angora du poëte. Le petit-fils, à son tour, jugea convenable d’ajouter un champ de plus à l’héritage et de signer Champfleury. Mademoiselle Mariette et Champfleury purent tout à leur aise faire écho à Lisette et à Béranger. Nous trouvons un chat dans les Contes’ domestiques et celui de Mademoiselle Mariette est véritablement un matou d’une distinction rare.