Cette observation nous paraît avoir cet intérêt qu’elle explique que pour féconder le nombre assez grand des ovules (en moyenne 300), il n’est pas besoin d’un aussi grand nombre de grains de pollen, si ceux-ci ont la faculté d’émettre plusieurs tubes fécondateurs. Les grains de pollen ou utricules polliniques se forment dans ces loges et s’échappent au fur et à mesure de leur mise en liberté par les pores terminaux de l’anthère.