Le souvenir de l’amie crue oublieuse s’affaiblissait de jour en jour et n’éveillait plus dans son esprit qu’un vague sentiment de mélancolie dépourvu de toute amertume. Au lieu du chant des oiseaux, de l’excitation câline du bouvier à ses bœufs lents, des couplets alternés des moissonneurs, ou de la chanson de la bergère « touchant » son troupeau à la lisièr...