» - à raison de 16 francs le cent, en vaut aujourd’hui 45. Tous ces poissons fournissaient avant la guerre à la population pauvre une nourriture substantielle et à bon marché. Lorsque la fermière fut partie, Jean se mit à examiner l’une après l’autre chacune de ces pauvres bêtes. Louison prit ces paroles pour une vaine menace. Jamais avare n’estima son tréso...