Je ne suis pas un brigand, comme vous le devinez bien, mais la misère pousse à de vilaines choses. J’ignorais que vous fussiez poltron, ai-je répliqué, et je ne suis pas un mauvais plaisant. Mais, de décision, elle n’arrivait pas à en prendre de peur de « m’influencer » dans un mauvais sens et de gâter ce qu’elle croyait mon bonheur. C’est encore moi qui lui ai dit que vous aviez acheté tous ces tableaux de nudité pour éprouver vos sens… Vous avez tort, lui dis-je un peu sèchement, ces choses-là n’ont rien à faire avec l’opinion, et… L’heure de la confiance, lui dis-je alors, n’a pas encore sonné.