Le troisième dossier de la gauche vierzonnaise a les mêmes particularités que celui de Jean Rousseau (ex-maire de Vierzon) sachant par ses opposants de l'époque : un seulement de. Les promesses la plupart azimuts pour pouvoir amorcer le acon sont nombreuses à être tombées à l'eau. l'ultime certitude que les élus font n'importe quoi pour tenir, c'est un quatrième mandat, à chaque prix en 2026, puisqu' perdre Vierzon réside dans le fait voisin à la même affront qu'en 1990, quand salope le Parti marxien avait tenté de changer de maire en cours de route, mais aussi que l'ex-socialiste Jean Rousseau était arrivé à leur ravir la mairie. Et avant tout, il est vital de donner vie les apparatchiks ! Plus on avance, toujours plus on remarque que les promesses électorales étaient bidons. la première d'entre elles, c'est la désertion du maire dans le but de son rang de député.